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~*~Circle Of Life~*~

4 janvier 2007

~*~ Une Année... une autre...! ~*~

Au moment des voeux les meilleurs, ceux que l'on souhaite du fond du coeur ou ceux qu'il nous faut souhaiter par politesse, voire avec hypocrisie... en distillant des bises à tous vents...
Il y a ceux qui écrivent aussi une liste de bonnes résolutions à tenir... les régimes, la clope, [...]...

Je fais partie de ceux qui tirent des conclusions de l'année qui se termine pour avancer dès l'aube de la nouvelle année...
Ma résolution est de m'habituer au plus vite à écrire "2007" dans la date, j'estime que c'est tout ce que je vais m'imposer lol ! Je ne vois pas en quoi au nom d'une nouvelle année quelqu'un serait à même de pouvoir faire quelque chose qu'il avait déjà essayé de faire dès le 1er janvier... 2007 peut apporter petit à petit ce que l'on attend de la vie...
C'est - pour moi - de la Vie qu'il faut attendre la possibilité de faire ce que l'on n'a pas fait ou fini en 2006 !

En 2006, mais pas dès le 1er janvier, j'ai appris à aimer et à être aimée, j'ai découvert la vie à deux, j'ai découvert ce que beaucoup pourraient m'envier, ce que j'attendais aussi avec hâte mais aussi à la fois appréhension... dans la vie, rien n'est toujours complètement simple, quelle que soit l'année, les bâtons dans les roues reviendront puis repartiront... c'est la Vie !
J'ai donc découvert l'Amour mais ça n'est qu'un début... un an ne suffit pas à le découvrir... les années à venir m'orienteront encore dans ce chemin... dans tous les autres de la vie...

J'ai toujours parfois peur, parfois confiance...
Je souhaite à tous ceux qui en ont besoin de trouver une dose de confiance en eux suffisante pour avancer et savoir prendre ce que la Vie nous offre sans demande de retour...

Bonne Année... surtout plein de santé !
Merci à vous d'être fidèles à mon blog "Circle of Life"... ;o)

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29 novembre 2006

~*~ Douceur et Paix ~*~

...et la Vie suit son cours... un cours que l'on ne prévoit pas toujours, des évènements extérieurs qui échappent à notre contrôle, et alors ?... des évènements que l'on a choisi de vivre, des choses que l'on a choisi de faire, des projets qui aboutissent... le pouvoir de dormir sur ses deux oreilles chaque nuit. Assumé d'être humaine... assumé ses erreurs et ses faiblesses pour mieux vivre le reste. La douceur et la paix, l'Amour aussi et surtout... la Vie suit son cours mais il y a des éléments incontrôlables contre des éléments choisis, fi à ce qui ne "va pas", place à ce qui change, place à ce qui plaît, place à ce que l'on aime, place à ceux que l'on aime, place à être soi... place à la sérénité, place à la douceur et à la paix...

La foi, je veux l'avoir en moi, en mes choix, en mes décisions, en ceux à qui j'ai choisi de faire confiance, aux choses pour lesquelles j'ai baissé ma méfiance et gardé ces forces pour autre chose, ailleurs...

Les sentiments refoulés, ceux qui font mal, ceux qui flottent dans un esprit angoissé, ne peuvent pas toujours être extériorisés envers les personnes concernées mais il existe tant de moyens différents pour s'en débarrasser assez pour ne plus souffrir !... en parler ailleurs, se délester juste assez pour avoir la force d'autre chose, la force de la Vie, la force d'aimer, de créer, de se reposer en paix dans un bain de sérénité...

Alors doucement j'apprends, même si cela demande du temps, réunir patience et confiance qui existent déjà quelque part en soi, accepter une main tendue, accepter un regard encourageant... j'apprends... j'arrive... doucement mais sûrement... Assumer d'Être, assumer de Vivre, aimer être et Vivre...
Aimer l'Amour... Aimer la Vie...

Merci la Vie... Merci l'Amour...

...et merci à l'avenir, à tout ce qu'il réserve pour la vie...

2 octobre 2006

~*~ Vertiges et Débordements ~*~

Qu'y a-t-il qui ne va pas ? Pourquoi est-ce que je me sens mal, si mal ? J'ai peur, j'ai l'impression de ne pas y arriver. Des sensations, des impressions, de l'irrationnel, de l'irréel... mais c'est en moi et moi seule.

J'ai peur du vide. Je cherche à bâtir une forteresse, pas autour de moi mais en moi. Il y aurait des rambardes dans chaque pièce pour m'y accrocher lorsque j'ai l'impression de tomber... J'engloutirais, si j'y arrivais, des tonnes d'informations, du savoir, une collection de richesses intellectuelles pour m'y accrocher, pour les ressortir pour moi dès que j'en sentirais le besoin. Si seulement j'y arrivais.

Être débordée m'angoisse tout autant, dans sa finalité ; on ne peut pas vivre 7j/7 débordée, 24h/24, il faut des moments de relâche, ceux que chacun attend sauf moi... pourquoi ? J'ai peur de la dégringolade vers le vide, comme une chute dans la Vallée de la Mort, le vide, c'est en effet la mort...
Je me souviens qu'il y a 4 ans, c'est de cette façon que ma prise de conscience a commencé : j'étais étudiante et tout ce que je redoutais le plus était la fin de la journée de cours avant de ne plus pouvoir y mettre les pieds tellement cette attitude annonçait un suicide moral. Moralement, j'ai fini par mourir.
De plus, c'était en octobre... c'est en novembre que j'ai quitté le monde.
Nous sommes en octobre, les souvenirs refont-ils surface ? Chaque année vont-ils me bouleverser jusqu'à la fin de mes jours ? Vais-je trouver un véritable épanouissement un jour ? Vais-je enfin pouvoir me sortir de ce cycle d'années qui permettent à chacun d'évoluer alors que je me sens constamment sur le banc de touche ???

Encore une fois, je peux souligner la distinction entre le sentiment, l'impression et la réalité. Mais vivre dans la réalité est encore trop difficile ! Me faut-il des miroirs, des comptes-rendus, des validations, des gratifications... des bons points à collectionner pour avoir un cadeau et la preuve tangible que... ??? Le pire est que je le voudrais ! Le pire est que cela me rassurerait en effet !!!...

13 septembre 2006

~*~ Vivre, qu'est-ce ?... ~*~

Une question bien vaste, de nombreux philosophes se sont penchés sur la question bien avant moi, avec bien plus de matière à penser, avec bien plus de lucidité... alors c'est sans aucune prétention que je me pose cette question. Aujourd'hui j'écris tandis que chaque jour et chaque nuit j'y pense, je me demande. Je ne cherche pas la réponse, je cherche des éléments de ma propre réponse.

On dit que l'on vit pour soi ; cela implique donc de savoir pourquoi l'on veut vivre, ce que l'on veux mettre dans sa vie... je ne me demande même pas encore si je peux, si cela est possible... je me demande encore ce que je veux, encore et encore.

Est-ce normal de se poser tant de questions ? Est-ce normal que cela prenne tant d'emprise sur moi ? Est-ce normal que penser à ma vie m'empêche encore de la vivre - dès maintenant ? Non... si tout le monde se pose des questions, se remet en question, ce "tout le monde" prend aussi le temps de vivre entre deux pensées... non ?

J'ai peur d'arrêter de penser. J'ai peur de penser. Si je vis, c'est beaucoup à base de peur et d'angoisse du moment présent, de l'instant d'après... projection dans un futur comme si ce futur n'arrivera jamais, maintenant c'est maintenant... une raison de profiter de l'instant présent... mais toute à l'heure cet instant présent sera passé et remplacé par un nouveau présent... J'ai peur du temps. Trop rapide ou trop lent ?... je n'en sais pas grand chose. Si, ça varie avec l'heure... pourquoi ? pour être dans une norme imaginée par la société, idéalisée par moi-même, rien que par moi-même... mais mon esprit et mon corps ne suivent pas. J'ai peur de me fier à mon propre rythme, j'ai peur d'être connectée à une vie que je suis seule à comprendre, plus ou moins, déconnectée de la vie des autres, de ce "tout le monde" où se cachent des amis... Je vis pour moi, d'accord, mais je ne vis pas pour être seule !

~*~

...

1 septembre 2006

~*~

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8 août 2006

~*~ Mots...Deux ~*~

...Parfois les noeuds vus avec un peu plus de recul semblent moins difficiles à défaire, même s'ils sont encore là...

Prendre du recul peut passer par beaucoup de chemins, chacun choisit celui qui lui convient, s'il (et quand il) le peut - car on peut oublier que c'est possible, penser que rester les yeux emmêlés eux-mêmes dans la pelote aidera...

Pour moi il a suffit d'un petit quelque chose qui peut paraître bien insignifiant : parler avec la bonne personne, celle qui m'écoute et me conseille, la seule ; celle avec qui je me sens bien, qui me tend les deux main et me sert dans ses bras, celle qui me considère comme une personne à part entière... C'est celle que j'aime... C'est celui que j'aime.

Pour preuve, pour moi, toujours un petit rien qui peut paraître bien insignifiant, et pourtant... une heure de sommeil en plus ce matin, une meilleure mine... plus d'enthousiasme en commençant la journée même si dans les faits et mes habitudes rien n'a réellement changé pour l'instant... il ne faut pas avoir le trac à cette seconde devant le jour qui se lève !
Aujourd'hui est un autre jour et... Tout est possible.

En ouvrant les yeux, en voyant ton visage bienveillant, en sentant ta main dans la mienne je suis plus forte, Mon Coeur, que je t'aime, que je t'aime...

rnbowhdr

~*~ Mots à Deux ~*~

5 août 2006

~*~ Mots... ~*~

Un mois pile depuis mon dernier message... les mots n'étaient même pas sortis - peut être que l'on comprendra quand même - un mois, une coïncidence, pourtant j'ai besoin de mettre des mots à nouveau...

Depuis ce temps il s'en est passé... des choses.

Du Paradis des vacances où ma valise cérébrale avait laissé dans les placards tout plein de mauvaises ondes, l'insomnie, la fatigue, la peur, l'angoisse... les pensées noires... est-ce l'oubli des pressions extérieures ?... En tout cas, voilà ce que ça m'a fait :

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...soleil, zéro contrainte, plage, mer, balades nocturnes... avec mon Chéri, mon ~*~ CHERI ~*~ :o)

De retour... voilà que le téléphone sonne de sitôt pour que le pire reprenne... alors il faut lutter, reprendre cette lutte, comme si je n'avais pas assez à faire avec ma petite tête embrouillée !

Crier MERDE. Si, des mots sont sortis hors de ce blog, au téléphone on ne comprend pas alors je me suis investie nuits et jours dans une lettre lue et relue pour qu'elle soit parfaitement adaptée à son sourd destinataire. La boule au ventre je l'ai envoyée. Résultat : RIEN, NOTHING, NADA. Mince, comment expliquer les choses à quelqu'un que l'on aime quand on culpabilise pour un rien et que l'on ne veut faire aucun mal autour de soi ?... Alors là, j'ai épuisé ma réserve d'idées... comme si cela devait être ma priorité, merde ! Et moi dans tout ce tas de tracas ? Merde à moi : je me mets toute seule en je-ne-sais-combien-t-ième position, d'abord je cherche à rassurer les "gens" ! C'est grave... je suis "grave"... du n'importe quoi : je me fais en plus traiter d'égoïste !...

Ermétique à tout ça... je voudrais tant l'être... pourquoi ? Pour "guérir" mince !!! C'est ce que ce qui m'aiment devraient vouloir pour moi, non ??? mais non, le téléphone sonne à l'heure du dîner, je ne décroche pas... je me rends comportalement ermétique alors que je voudrais arriver à surmonter tout ça rien que psychologiquement avec confiance et estime de moi...

Laissez-moi du temps...
(supplication ultime)

Affaire à suivre... mais chut, silence, je veux juste être tranquille ! Je suis épuisée... Aujourd'hui je prends soin de moi. C'est écrit, je ferais mieux de le faire pour éviter comme hier de perdre l'équilibre et de faire tomber la vaisselle que je viens d'essuyer chez mon Chéri... Non, là il faut il faut il faut que je reprenne des forces et c'est la priorité.

5 juillet 2006

~*~ Such...Love ~*~

    Quand la musique parle mieux que les mots...

3 juillet 2006

~*~ The Sunshine...Love ! ~*~

3 juillet 2006

~*~ Souvenirs... ~*~

Dans un besoin d'exorcisme dans mon autre blog, il y a deux ans...

...Le soir du 3 juillet 1999, je profitais de la douceur de ce début d'été sur la terrasse avec mon père. On discutait de tout et de rien, puis il me dit : "mais quoiqu'il arrive, ne t'inquiète pas, j'ai placé de l'argent sur un compte à ton nom pour tes études...". Cela a évidemment provoqué ma stupeur, mais pourquoi se sentait-il obligé de me dire cela ? Je n'étais pas inquiète... devais-je l'être ?
Le lendemain, je prenais tranquillement mon bol de céréales devant la télé, c'était un dimanche. Ma mère était sortie, sans doute au marché avec son amie Jaqueline. Mon père se préparait à aller faire son traditionnel jogging puis il s'est installé sur le canapé face à moi. Ses paroles sont restées floues dans mes souvenirs, mais j'entends encore :"je crois qu'il faut que je parte". On venait de me foudroyer. "Non...non...", les seuls mots que je trouvais à répondre. Les larmes ont empli mes yeux, je me sentais amorphe, incapable de réagir ; mon père m'a supplié de ne pas pleurer et m'a pris dans ses bras. J'ai pleuré, pleuré... et pour la première fois de ma vie, je lui ai dit "je t'aime". C'était comme un aveu que je lui faisais après toutes ces années, un aveu lourd et sincère devant cet intense moment d'émotion et de douleur. Les yeux contre son épaule, j'ai compris qu'il pleurait aussi, "Adrien et toi vous êtes tout ce que j'ai de plus précieux au monde...". C'était comme si ces simples paroles avaient rattrapé l'absence dont il avait fait preuve durant notre enfance, comme si on ne pouvait être on ne peut plus clair, je n'avais plus besoin de preuve de son amour.
Je l'ai regardé, j'ai vu ses larmes sur les lentilles de ses lunettes, et lui portait la tâche de mascara noir sur son tshirt blanc. C'était comme un "échange"... Quand il est parti faire son footing, j'ai tenté de finir mon bol de céréales ramolies, mais elles avaient le goût amer de mes larmes, et mon souffle encore hâletant de pleurs m'empêchait d'avaler la moindre cuillèrée. J'ai jeté le contenu du bol à la poubelle puis me suis décidée à prendre un bain pour me calmer, et accessoirement rester enfermée pour éviter que ma mère ne soit au courant de ce qui s'était passé. Assise dans l'eau, les larmes avaient recommencé de couler, désespérément je recherchais le ou la coupable. C'était tombé sur Jaqueline.
Jaqueline était une voisine d'une bonne cinquantaine d'années adepte des centres d'UV, des mini-jupes et du parler pied-noir. Elle était divorcée et incarnait pour moi la rebellion de ma mère...
Tiens, quelques heures plus tard, au retour de ma mère et de mon père, nous avons déjeuné ensemble à table. Surprenant !! J'étais face à mon père, ma mère a fait remarquer la tâche noire sur le tshirt de mon père, on s'est lancé un regard quelque peu complice, mais dont on se seraient passés.
Le 6 juillet, il se trouvait que c'était leur anniversaire de mariage. Jamais je ne pensais que ce serait une occasion à fêter, alors quelle a été ma surprise et mon incompréhension de les voir chacun une flûte de Champagne à la main, avec leurs masques de joie...
Puis je me suis souvenue d'un après-midi où ma mère et moi étions parties nous promener au lac. Il faisait beau et nous nous étions mises à une terrasse de café. Quelques jours auparavant, j'avais trouvé chez moi des magazines d'annonces immobilières, et persuadée qu'ils étaient là car mes parents poursuivaient leur recherche de la maison familiale dont on avait tous rêvée depuis quelques années, je me suis mise à les feuilleter. Bizarrement, c'est à la page appartements 2 pièces que j'ai retrouvé les croix rouges de mon père. Ce jour-là au bord du lac, j'ai abordé le sujet de l'achat de maison et ai demandé si naïvement à ma mère : "mais papa... il cherche à investir dans un appartement c'est ça ?...". D'un coup, ma mère s'est mise à sourire d'un air cachotier que j'allais lui reprocher si fort : "euh... je ne sais pas ce qu'il veut faire, ton père...". Ca s'était arrêté là.
En ce début de juillet 1999, j'ai enfin pu mettre bout à bout les éléments qui semblaient incohérents. Et j'ai commencé à en vouloir de plus en plus à ma mère. Comme tous les enfants, j'était profondément blessée de ces rumeurs de séparation et de divorce ; j'avais aussi l'impression d'être prise pour une idiote. Naïve j'étais, mais idiote je ne voulais pas.
...

extrait : Mon histoire...besoin d'exorciser

Le temps passe, l'esprit prend du recul, les évènements s'enchainent, mais les dates font surgir les souvenirs... pardon.

 

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